S’exprimant dans le cadre de sa visite officielle à Moscou, le Président de la République Nicolas Sarkozy, a indiqué que le capital des entreprises françaises n’était pas fermé à d’éventuelles prises de participation de capitaux russes. En contrepartie, il a fait savoir son intérêt pour une forme de réciprocité qui permettrait, par exemple, l’entrée d’investisseurs français au capital du géant Gazprom.