On peut travailler plus pour gagner plus, on peut aussi travailler plus ou moins, mais chez soi. Et on a tout à y gagner. C’est que révèle une étude conséquente initiée par la Consumer electronics association (CEA, regroupement des principales entreprises américaines de l’électronique). Elle démontre les bienfaits du travail à distance pour l’environnement, le bon vieux « métro-boulot… » s’avérant un peu trop énergivore. Que les inactifs se rassurent: le travail n’est pas le seul déplacement susceptible d’être effectué au cours d’une journée afin de nuire à l’environnement.
En France, l’Ademe participe au groupement TIC 21, « qui souligne que la vidéoconférence et le télétravail peuvent diminuer les impacts environnementaux des activités humaines ». Prochain rendez-vous du TIC les 30 et 31 octobre.
Lire la synthèse de Zdnet.
Lire l’étude de la CEA (attention: 91 pages format PDF).