Interrogé par l’AFP, un représentant de Gaz de France a répondu aux accusations de l’avocat de l’entreprise Bourgeois, affirmant « que toutes les règles avaient été respectées tant pour la mise en place de la canalisation, que pour l’information à l’entreprise de travaux publics avant les travaux et leur intervention à la suite de l’explosion ». Si Gaz de France avait dans un premier temps exclu tout commentaire avant « d’avoir été entendus par le procureur », l’accumulation des accusations l’a conduit à fournir « des explications précises », point par point.
A Bondy, jeudi en fin de matinée, les recherches ont été arrêtées. Le bilan du drame est à ce jour d’un mort, 52 blessés et deux disparus.