Selon le Financial times, après de longues fiançailles (deux ans), EDF et Enel s’apprêteraient enfin à officialiser leur union autour du projet d’EPR à Flamanville. Enel prendrait 12,5% du capital de six centrales nucléaires de nouvelle génération, incluant celle actuellement en construction. En retour, le gouvernement italien lèverait un décret qui limite la propriété d’ex-centrales publiques par des « sociétés publiques », qu’elles soient italiennes ou… étrangères. Décret qui avait bloqué EDF, via sa filiale Edison, lorsqu’elle avait souhaité prendre le contrôle d’Edipower. Un mariage industriel autant que politique, ce qui explique qu’il devrait être officialisé lors du Sommet franco-italien de Nice, demain.
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