En attendant que la voiture à hydrogène ne rejette plus que de l’eau, la ville de Besançon a décidé d’injecter de l’eau dans son moteur. Plus exactement 10% auxquels s’ajouteront 90% de gasole pour composer du Gecam, un carburant expérimental, testé dès février 2008 par 35 bus urbains ayant 8 à 10 ans. L’expérimentation durera six mois, qui permettront de mesurer les « coûts d’entretien engendrés par l’exploitation de ce gazole qui entraîne une consommation légèrement plus importante qu’avec un gazole classique ». Comme il est moins lubrifiant, il nécessite aussi « une cuve spécifique ».