Dans son rapport intitulé « la manne exploitée des renouvelables » publié mercredi 22 septembre 2015, Greenpeace met en avant les bienfaits des énergies renouvelables, créatrices de « flux économiques nouveaux et substantiels pour les collectivités locales » et « d’emplois pérennes grâce aux projets induits par les retombées ».
Pour illustrer ses propos, l’organisation s’est appuyé sur 4 territoires français « sélectionnés pour leurs spécificités et leur niveau de maturité » :
– le parc éolien des Tilleuls (Saint-Georges-sur-Arnon, Indre) ;
– le parc éolien de Sor-Arfons (Tarn) ;
– le parc agri-solaire d’Ortaffa (Pyrénées-Orientales) ;
– le projet solaire citoyen du Puy Saint-André (Hautes-Alpes).
Quelques conditions à un impact positif :
– la bonne relation développeur de projet – élu local ;
– la communication continue auprès des populations ;
– l’insertion des populations et des élus dans les processus de sélection, de décision voire de financement des projets :
– la bonne intégration du projet au sein de l’écosystème local :
– la bonne prise en compte des différents usages des sols.
