Le SIPPEREC a publié sa lettre d’information « L’Essentiel » datée de mai 2015.

Y sont notamment évoquées les attentes de ses adhérents quant à la ville connectée :

« L’enquête menée par le syndicat en janvier 2015 le confirme : le sujet de la ville connectée est stratégique pour les adhérents, comme en témoigne le taux de réponse élevé (plus de 20 %).
Présentés lors du petit-déjeuner du 7 avril 2015, les résultats de cette étude montrent que les adhérents ont de fortes attentes dans ce domaine, même si les pratiques sont encore peu développées, notamment dans les téléservices et les réseaux de capteurs.
Pour les acteurs consultés, la ville connectée commence par une meilleure organisation des services internes de la collectivité et par un meilleur fonctionnement de la gestion urbaine. L’objectif est d’améliorer le service aux administrés, tout en rationalisant les dépenses publiques. Dans le même temps, les adhérents ont identifié plusieurs freins, comme la dispersion des moyens, les difficultés liées à la mise en place d’une approche transversale, le manque de connaissances en matière d’applications de télérelève et enfin, le faible niveau d’exploitation des données recueillies et de diffusion de ces données aux administrés.
Le prochain petit-déjeuner sur ce thème est organisé le 2 juin 2015 (déploiement des compteurs communicants Linky et enjeux sur les services pour les collectivités). »

Et l’éligibilité des  éclairages publics à LED aux certificats d’économies d’énergie (CEE).

« Les collectivités adhérentes à la compétence électricité peuvent ainsi obtenir des subventions pour ce type d’équipements dans le cadre de la convention de partenariat avec EDF-ERDF, le versement de ces subventions étant conditionné à l’obtention de CEE. Les collectivités qui n’étaient pas déjà signataires de la convention avec le SIPPEREC sont invitées à signer la nouvelle convention SIPPEREC-SIGEIF pour valoriser leurs CEE. Attention, les travaux doivent être valorisés un an maximum après leur réalisation. »